Lucie Carrasco est une styliste
lyonnaise de 32 ans atteinte d’une amyotrophie spinale qui l’a
contrainte à rester dans un fauteuil. Toutefois, elle a su dépasser
son handicap afin de réaliser ses rêves. Selon elle, l’affectif
et la force mentale font 90% de tout, ainsi soutenue par sa famille
et ses ami(e)s, elle a su combattre la maladie et parvenir à ses
objectifs. Son rêve, elle va le réaliser le 4 septembre 2010 lorsqu'elle découvre les Etats-Unis.
Une date tatouée sur son bras car c’est pour elle une révélation, la découverte d’un autre monde où le regard sur la maladie n’est pas le même qu’en France. Terre de mixité, les Etats-Unis vont être pour Lucie Carrasco un pays où elle se reconnait et se sent chez elle. Elle s’installe à Los Angeles et découvre un esprit, une influence qui lui donne l’espoir d’accomplir ses projets. C’est une nouvelle vie qui s’offre à elle, mais la maladie est toujours présente et, pour raisons de santé, elle doit retourner en France avec en elle l’espoir de retourner au plus vite dans un pays qui a su l’accueillir et lui offrir des opportunités jusque là impossible. Aujourd’hui Lucie Carrasco se bat avec son association Roule Toujours afin de récolter les fonds qui lui permettront de retourner s’installer aux Etats-Unis, son pays d’adoption. Photo de Carlos
Une date tatouée sur son bras car c’est pour elle une révélation, la découverte d’un autre monde où le regard sur la maladie n’est pas le même qu’en France. Terre de mixité, les Etats-Unis vont être pour Lucie Carrasco un pays où elle se reconnait et se sent chez elle. Elle s’installe à Los Angeles et découvre un esprit, une influence qui lui donne l’espoir d’accomplir ses projets. C’est une nouvelle vie qui s’offre à elle, mais la maladie est toujours présente et, pour raisons de santé, elle doit retourner en France avec en elle l’espoir de retourner au plus vite dans un pays qui a su l’accueillir et lui offrir des opportunités jusque là impossible. Aujourd’hui Lucie Carrasco se bat avec son association Roule Toujours afin de récolter les fonds qui lui permettront de retourner s’installer aux Etats-Unis, son pays d’adoption. Photo de Carlos
Par Maxime Girard
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